Manger plus en hiver ce n'est pas un mythe et voilà pourquoi !
Lorsque l’hiver arrive, le temps n’est plus propice à passer ses soirées dehors, au contraire. Un bon plaid, votre film préféré à la télé et surtout de la NOURRITURE. Manger, manger et encore manger, quand le froid pointe le bout de son nez, ça en devient l’activité principale au point d’avoir l’impression de ne faire que ça. Certains diront, pour se donner bonne conscience, que ça réchauffe et d’autres diront qu’un bon plat est source de réconfort. Tout est vrai, et voici d’autres raisons pour lesquelles vous mangez plus en hiver. ;)
C'est votre corps qui vous le demande!

Manger plus pour maintenir son corps au chaud, ce n’est pas une légende. En hiver, le corps octroie une dépense énergétique importante à maintenir le corps au chaud. Les calories sont brûlées donc il faut bien se remplir l’estomac.
La lumière influence également notre appétit. Certaines hormones sont stimulées selon les saisons et en fin d’année, c’est la sérotonine (humeur et bien être) qui est produite massivement. Que faut-il faire pour la sustenter un maximum? La réponse ne plaira pas à votre diététicien, mais il faut ingérer des sources de glucides. Pour équilibrer tout ça, la pratique régulière d’un sport peut évidemment aider, mais souvent en hiver la flemme s’installe et ça se comprend…
Ça se passe aussi dans la tête!

L’hiver est souvent synonyme d’un petit coup au moral. Le froid, le mauvais temps, ce n'est pas très joyeux donc souvent la source de réconfort est la nourriture. La dépression hivernale, c’est un vrai sujet touchant 18 % de la population globale selon medecinesciences. Plus qu’un syndrome ou un “coup de blues”, il s’agit bien d’une maladie pouvant causer des répercussions significatives sur le quotidien de la personne qui en souffre. Dans le top des aliments réconfortants, le chocolat culmine en tête suivie par la glace et les chips. Mais réconfortant ne rime pas forcément avec mal-bouffe, les soupes par exemple remontent le moral.
Des assiettes bien remplies

Les mois de novembre, de décembre et de janvier amènent à la fête et aux repas copieux. Les repas sont plus riches et les plaisirs coupables sont moins culpabilisants. À Noël par exemple, les tablées regorgent de viandes, de fruits de mer, de foie gras, de gratins, de fromages, de desserts, de boissons alcoolisées. Et le jour de l’An, rebelote! Après tout, c’est le moment pour un petit excès tout en entretenant un lien social qui réchauffe en hiver. Alors pourquoi se priver?